Schuon est insurpassable – et j’ajouterais inégalable – dans l’exposé des religions comparées.— Martin Lings, écrivain britannique
Son œuvre possède l’autorité intrinsèque d’une intelligence contemplative. Schuon parle de la grâce comme quelqu’un qui la vit. — Bernard P. Kelly, thomiste anglais
L’œuvre de Frithjof Schuon constitue un exposé sans équivalent de la sophia perennis, cette sagesse éternelle qui sous-tend toutes les traditions plénières, y compris celles d’origine primordiale. — Kenneth “Harry” Oldmeadow, professeur de philosophie et de religions comparées à l’Université La Trobe de Melbourne
[...] je le trouve [le manuscrit de De l’unité transcendante des religions] du plus grand intérêt, et il aurait été assurément bien regrettable que vous ne vous décidiez pas à l'écrire. Je ne vois vraiment pas quelles modifications je pourrais vous suggérer, ni ce qu'il pourrait y avoir à ajouter ou à retrancher ; je crois que ce qui se rapporte au Christianisme, en particulier, n'avait jamais été présenté sous ce jour, et cela pourra aider certains à comprendre bien des choses. Il importerait que ce livre puisse paraître le plus tôt possible. — René Guénon, métaphysicien français (lettre du 16 avril 1946)
Notre amitié a été fondée sur l’amour que nous avons tous les deux pour toutes les choses sacrées et la prière. C’est là la chose la plus importante pour nous deux, la prière et le sacré.— Thomas Yellowtail, chamane et chef de la Danse du Soleil des Crow
Ses écrits sont difficiles, mais ils se caractérisent par une exactitude métaphysique dans la saisie des fondements de notre être d’une manière que je considère comme inégalée à l’époque contemporaine.— Huston Smith, ancien professeur émérite de philosophie et de religions comparées dans plusieurs universités américaines
La grande et imposante silhouette du saint soufi nous dominait tous – un véritable prince parmi les saints. L’image en est encore vivante dans l’esprit de Ramdas.— Swâmi Râmdâs
Schuon est sans conteste un des esprits philosophiques les plus pénétrants du vingtième siècle, ou même de toute époque.— Keith Critchlow, auteur de Islamic Patterns: An Analytical and Cosmological Approach, artiste, conférencier et professeur d’architecture sacrée à la Temenos Academy de Londres.
Dans ses exposés d’ordre métaphysique, ce que, à mon avis, il faut admirer particulièrement, c’est sa faculté de dominer, comme d’un vol d’aigle, les sujets les plus ardus, de les clarifier et de les simplifier. Je veux dire de faire apparaître comme simple ce qui semblerait compliqué, mais en en faisant apparaître en même temps toute la profondeur.— Jean Hani, écrivain catholique, ancien professeur à l’Université d’Amiens
Je n'ai jamais rencontré une œuvre plus impressionnante dans l'étude comparative des religions d'Orient et d'Occident.— T.S. Eliot, poète britannique, à l’occasion de la publication de De l’Unité transcendante des religions
Intellectuellement rigoureuse au degré le plus élevé..., il n’y a aucune voix pareille à celle de Schuon.— Arthur Versluis, doyen de la Faculté d’Études religieuses de la Michigan State University
Une telle œuvre s’est peu à peu révélée aux esprits clairvoyants du XXe siècle comme une incise de vérité au milieu du mensonge, une prière au cœur du blasphème, un point de fusion dans l’hiver du monde.— Jean Biès, écrivain français
L’œuvre picturale de Schuon est fondamentalement une dans ses principes et dans ses modes d’exécution. Il s’agit toujours d’exprimer et de transmettre une vision intérieure, ou tout au moins des qualités spirituelles qui se manifestent dans l’œuvre non en vertu d’un souci didactique ou symboliste délibéré, mais en vertu même de l’extériorisation de l’intérieur.— Patrick Laude, écrivain, philosophe et professeur de théologie à Georgetown University
Frithjof Schuon dévoile les principes essentiels de la prière comme quelqu’un qui s’exprime, non spéculativement, mais en vertu d’une expérience concrète... On ressent avec une absolue certitude que ses descriptions révélant l’intériorité de la vie de prière procèdent d’une vision directe et non d’un génie imaginatif. .— Reza Shah-Kazemi, écrivain britannique d’origine indo-persane